Dans cette adaptation olfactive de la Belle et la Bête, toutes les projections, les fantasmes des jeunes spectateurs sont possibles, car la Bête n’est pas représentée physiquement, mais évoquée, convoquée, par la voix et par l’odeur. Chacun peut ainsi projeter une image, donner forme à ses peurs, et aller à la rencontre de sa « Bête », un « monstre » aussi protéiforme que les odeurs.